La Mure Argens

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La Mure (en latin Mura) est un village de 318 habitants. Il est implanté sur la rive gauche de l'Issole, à son confluent avec le Verdon où la vallée s'élargit sur de vastes espaces verdoyants. Le village actuel semble dater essentiellement des XVIIIe et XIXe siècle. La rue principale qui  traverse le village est marquée l’Ouest par une croix qui symbolise l'entrée dans le bourg et à l’Est par une chapelle, dédiée à St Joseph.

A mi-distance entre les gorges du Verdon et les stations de ski du Val d’Allos, à deux pas du lac de Castillon, le village domine la cuvette de Saint-André et son écrin de verdure ; son exposition exceptionnelle au pied de la montagne de Maurel le met à l’abri des courants qui balaient les vallées de l‘Issole et du Verdon.

L'église paroissiale, sous le vocable de Notre Dame de Vauvert, est située à l'extrémité du village. Son linteau daté de 1700 semble indiquer la date de la construction. Son clocher, restauré en 1987, attire le regard du voyageur, avec ses tuiles aux coloris de l’automne, et son cadran solaire nouvellement réhabilité. Son intérieur, orné de toiles et de statues, offre au visiteur un « Saint-Jean Baptiste prêchant dans le désert ».

Le rattachement de la commune d’Argens s’est opéré en 1973, élargissant un patrimoine forestier pourtant déjà riche. A 1350 m d’altitude, l’église de Notre Dame de Beaulieu est sans doute une des plus belles de la contrée.

La commune propose au randonneur 5 sentiers, 3 autour du village de la Mure et deux aux abords de celui d’Argens dont un sentier thématique.

Si l’essor démographique n’a cessé de se poursuivre depuis le début des années 60, les équipements industriels (minoterie, fabrique de pâtes, limacière, scierie) ont tous, peu à peu, disparu. Quelques entreprises de service ont réussi à se maintenir mais nombreux sont les habitants qui exercent une profession dans les environs. Le village s’anime en été, et la fête patronale du 15 août (autrefois marquée par une bravade) rassemble pendant plusieurs jours toutes les générations.

Demandolx

Chaudon-Norante

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Chaudon-Norante est une petite commune rurale située en bordure de l’Asse et surmontée par l’imposante Barre des Dourbes (1728 m) qui s'étire sur 17 km du nord au sud entre le bassin Dignois et les hautes vallées de l'Asse. Elle est composée de trois hameaux principaux : Norante, Chaudon et La Clappe

La commune de Chaudon fut dénommée en 1908 Chaudon-Bédéjun puis en 1919 Chaudon-Norante. Norante devient dans les années 50 chef lieu à la place de Chaudon.

Norante tire son nom de nonaginta, noinante, parce que les romains comptaient d'Oraison à ce lieu, noinante lieux ou pierres milliaires.

En de nombreux lieux dits de la commune, la présence humaine est attestée par des fragments de tégulae (poterie) remontant à l'époque romaine jusqu'au Moyen-Age. De cette époque, il ne reste que les ruines de la chapelle Sainte Madeleine qui s'est maintenue jusqu'au XXe siècle. A disparu quant à elle, la chapelle Saint Ephrem placée sur la colline, au milieu du cimetière, remplacée au XVIIe siècle par l'église Saint Antoine, construite au cœur du village de Norante.

Les fondations d'une tour médiévale subsistent encore au lieu dit « Château-Plus-Haut », à côté d'une bastide ruinée de construction plus moderne. Cette tour pouvait constituer un relais entre Chaudon et d'autres points du territoire, principalement Norante dont la communauté lui était rattachée et avec des châteaux plus éloignés comme celui de Creisset, en rive gauche de l’Asse. Les vestiges du Château-Plus-Haut constituent aujourd’hui un but intéressant pour une balade familiale à la journée.

Lors des Cent-Jours, Napoléon a traversé la commune et s’est arrêté à la Clappe. Une partie de l’itinéraire emprunté par l’empereur a été aménagée en sentier de randonnée. Ce parcours sportif, appelé « Voie Impériale », permet au randonneur de relier Castellane à Digne-les-Bains en itinérance sur 3 à 4 jours. Par temps clair, un magnifique panorama sur le bassin dignois et la vallée de l’Asse est à découvrir au col du Corobin.

Braux

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La Garde

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Composée d'environ 83 habitants en résidence principale, la commune de La Garde est située en partie sud-est du département des Alpes de Haute-Provence (04), frontalière avec le département du Var, son altitude est de 927 m. Rattachée administrativement à l'arrondissement et au canton de Castellane (Sous-préfecture  des Alpes de Haute-Provence), La Garde n’en est distante que de 5 km. Le nom La Garde provient du fait que, depuis 1200, elle était un poste d'avant-garde de Castellane (La tour de guet). Les habitants se nomment « Les Gardois » et « Les Gardoises ». La superficie totale de la commune est de 1688 hectares.

Dans un site tout simplement merveilleux de prairies verdoyantes, collines boisées et gigantesques falaises verticales, entourée de hauts peupliers et de sapins majestueux, le petit village de La Garde conserve une authenticité de commune du Moyen Age avec ces quelques rues de guingois, ses passages couverts, ses façades biscornues de vieilles pierres ou repeintes en teinte pastel. Un peu à l'écart du village, dominant  une vaste prairie, se dresse une étonnante  chapelle  isolée à clocher de tuiles vertes : l'Eglise Notre Dame des Ormeaux. Au patrimoine de la commune, trois autres chapelles :

• Sainte Anne, patronne du village ;
• Saint Sébastien, protecteur de la peste, protégeait la communauté contre les dangers venus de l'extérieur, la chapelle possède un tableau magnifique peint sur le mur représentant la mort de Saint-Sébastien (peint par Mr Michel Jobert) ;
• Saint-Martin, protecteur de la montagne du Teillon.

Le village dispose de trois fontaines alimentées par une source, lesquelles fontaines donnent un cachet particulier et offrent une eau de source tout particulièrement appréciée par la population Gardoise, ainsi que par la population environnante. Le centre bourg est serpenté par le canal d'arrosage.

La proximité immédiate de Castellane induit une activité économique minimale sur le village de La Garde. On note toutefois la présence de quelques artisans, dont un artisan confiseur, un traiteur et marchand de légumes, un apiculteur, un hôtel restaurant « l'Auberge du Teillon », ainsi que deux entrepreneurs de travaux publics. Sont également présents sur la commune un camping comportant 200 emplacements sur une superficie d'environ 7 hectares, ainsi que plusieurs gîtes de bonne qualité. Dix enfants sont scolarisés à Castellane et utilisent le ramassage scolaire.

L'agriculture n'est plus présente sur le territoire communal en termes de siège d'exploitation. Cependant, la commune détient en propriété environ 300 hectares de terres propres  au pâturage et au pastoralisme, notamment sur le territoire de la montagne du Teillon. Ces terrains sont loués, par adjudication, à des bergers qui les utilisent environ 4 mois de l'année (transhumance).

L'urbanisation s'est développée principalement dans le bourg de La garde et plus récemment au lieu­ dit« Pré de roux », en continuité du bourg, le long de la RD 132. Le village est traversé par la RN85 qui relie Grenoble à Grasse en passant par Digne-les-Bains et Castellane, la célèbre Route Napoléon. Le trafic est relativement important : 2316 véhicules/jour en moyenne en 2003 (dont 4,2% de poids lourds). La D132 qui relie le village au hameau d'Eoulx connaît un trafic moindre.

Les alentours du village offrent de très belles promenades dans la montagne du Teillon, à 1894m, ainsi que dans la montagne de Destourbes.

Colmars les Alpes

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Castellet les Sausses

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Castellet les Sausses, village perché des Alpes de Haute Provence, est inscrit par arrêté ministériel sur l’inventaire des sites pittoresques. Situé à 800 m d’altitude, il domine la vallée du Var. Dit en latin « Castellum del Salsum », il tire son nom d’un ancien château fortifié et d’une fontaine salée que l’on trouve sur le territoire, d’où la dénomination de « château salé ».
Vaste territoire de 53,91 km2 outre le chef-lieu, 3 hameaux font partie de la commune :

• Enriez en bord de la D 2202 en direction de la station de ski de Valberg et des magnifiques Gorges de Daluis.
• Agnerc, accolé à la montagne sur le bord de la D 4202, faisant face au fleuve Var, petit hameau comprenant 17 habitants.
• Aurent, ancien village qui fut d’abord attaché à la commune Braux avant de rejoindre Castellet les Sausses en 1961. Ce hameau d’Aurent, longtemps à l’abandon, remis en état par ses habitants uniquement présents en saison estivale est devenu un lieu de randonnée important du fait de :

- sa rivière « Le Coulomp » sur lequel a été décerné le label « rivière en bon état » et qui fait l’objet d’un arrêté de biotope.
- ses sources impétueuses pouvant dépasser 30 000 l/s.
- sa Grotte des Chamois, la plus belle rivière souterraine de France, dans la grotte la plus hostile de Provence. 14 kms de galeries souterraines ont été mises à jour.
- Son église, son musée privé, son paysage de haute montagne jusqu’aux magnifiques lacs de Lignins en font un site réputé et incomparable.
- Son refuge gratuit, ouvert toute l’année, pouvant accueillir 25 personnes est un atout incontestable pour les randonneurs et les amoureux de la nature.

La commune de Castellet les Sausses se situe dans le site Natura 2000, le site du Grand Coyer et le site à chauve-Souris Castellet les Sausses, Daluis, Entraunes, sites naturels des plus remarquables et espèces sauvages d’un intérêt communautaire prioritaire. La population totale de la commune est de 138 habitants qui se répartissent essentiellement entre le chef-lieu et Enriez.

Les églises :
A Enriez l’église St Martin datant de 1845  elle remplace en 1866 une ancienne église de 30 m² (dont la démolition a permis de dégager l’actuelle place). Le clocher est construit en 1878. Elle a été restaurée intérieurement en 2013.
L’église Saint-Pons, à Aurent (entre 1600 et 1650): la voûte en berceau est recouverte intérieurement d’un lambris enduit. Les bardeaux ont été recouverts de tôle plate, le clocher est couvert de lauses. Au XIXe, elle était pavée de galets.
La chapelle Sainte-Madeleine (xiiie siècle), sur la place du village de Castellet, en pierre bien taillée. Elle a été voûtée, mais est actuellement plafonnée. Elle a été réparée avant 1892 et en 1967. Elle vient d’être totalement restaurée.
L’église romane Saint-Pierre-et-Saint-Paul au chef-lieu date du xive siècle, est classée monument historique. Construite au sommet du village, elle domine la vallée du Var, elle a été entièrement restaurée en 2011.

L’agriculture :
L’élevage a son importance, 4 éleveurs ovins et bovins sont présents. En période estivale des troupeaux des départements voisins transhument pour venir dans la commune.

L’artisanat :
2 garagistes, 1 électricien, 1 marchand de matériaux du bâtiment, un atelier de fabrication d’objets en bois ainsi qu’un dépôt de matériel d’un grande entreprise, une déchetterie apportent un plus à la commune.

Enfin pour ceux qui souhaitent le calme et profiter de la nature, au domaine du Fâ, des gîtes et chambres d’hôtes peuvent les accueillir.

Castellet les Sausses et ses hameaux veulent aller de l’avant.

Blieux

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Blieux est une vaste commune située de part et d'autre de l'Asse, au cœur d'espaces naturels protégés que sont le Parc Naturel Régional du Verdon et la Réserve géologique de Haute Provence.

Elle est ceinte de hauteurs faisant partie des Préalpes de Digne et dominant le plateau de Valensole et les Gorges du Verdon. Le Mourre de Chanier culmine à 1930 m, suivi du Mont Chiran (1905 m), sur lequel le CNRS installa en 1967 un observatoire astronomique qui permet aujourd’hui d’initier les amateurs à la lecture des étoiles. Ce relief montagneux fut, et l’est encore, largement dévolu au pastoralisme, comme le laissent deviner les nombreuses prairies qui occupent le paysage.

Petit bourg au moyen âge, Blieux s'est établi sur un promontoire, en rive droite de l’Asse. Des vestiges des fortifications médiévales sont encore visibles. L'église paroissiale de Blieux, placée sous le vocable de Saint-Symphorien, aurait été bâtie au XIIe siècle par les moines de Lérins. Largement reprise à la période moderne, elle conserve néanmoins quelques éléments architecturaux du moyen âge, comme son abside en cul-de-four et une baie obturée sur son mur nord. Les premières assises du clocher présentent également d'énormes blocs en appareil assez régulier, susceptibles de dater de cette période.

Blieux se trouvait alors près d'un chemin muletier raccordant la route de Nice, au nord de Castellane, à Mézel via Majastres. Cette liaison empruntait les passages naturels que sont Colle Basse et le Portail de Blieux. Plusieurs ponts de tufs traversant l’Asse témoignent de l'importance de cette voie de communication. Aujourd’hui ces itinéraires sont devenus des sentiers de randonnée traversant de grands espaces et permettant d’atteindre des sommets qui offrent un vaste panorama sur le Verdon, la Provence et les Alpes du Sud

Entrevaux

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Clumanc

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La commune de Clumanc, d’une superficie d’environ 5500 ha se situe à une altitude qui varie entre 800 et 1700 m.

La Barre des Dourbes, le Pic de Couard, les montagnes du Cheval Blanc (culminant à plus de 2 300 m) de la Sappée et de Mouchon entourent d’ouest en est la vallée de Clumanc et plus au nord de Tartonne constituant une unité paysagère préservée, typique des Préalpes méridionales et dont le caractère doit beaucoup à la présence encore importante d’une activité agricole axée sur l’élevage bovin.

En parcourant le territoire, vous ne rencontrerez pas de villages mais de nombreux hameaux situés de part et d’autre de l’Asse. Cette situation particulière de commune sans « bourg centre » explique la présence de nombreux édifices et monuments répartis sur toute la commune :

• Eglises de Notre Dame et de St Honorat
• Chapelles du Riou, de Valaury, des Sauzeries, de Douroules
• Château des Périer et tour de l’Annonciade.

Clumanc allie un patrimoine naturel riche et varié où, comme aime à le souligner la Réserve Géologique de Haute-Provence, « l’histoire de la terre se lit à ciel ouvert », à un patrimoine bâti, y compris agricole, qui pour sa part traduit l’évolution de la commune au cours des derniers siècles.

En utilisant les sentiers de randonnée présents, vous pourrez découvrir toutes ses richesses.

Castellane

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A mi-chemin entre Alpes et Méditerranée, étape sur la Route Napoléon et porte nord des célèbres Gorges du Verdon, Castellane a une vie dynamique, mêlant avec habileté les richesses de son passé, sa vocation touristique et ses nombreuses activités. Sous-Préfecture des Alpes de Haute Provence et d’une superficie de 117 km², Castellane se situe déjà à l’époque romaine, au carrefour stratégique des axes de communication. Une particularité de cette commune est qu’elle est en étoile avec les nombreux hameaux et quartiers qui cernent le bourg. Blottie au pied de son Roc, à 724 mètres d’altitude,  Castellane offre un panorama somptueux.

La ville, membre des Villages et Cités de Caractère, possède des richesses architecturales avec ses trois monuments classés (Tour Pentagonale, Eglise Saint Victor, Tour de l’Horloge), son site inscrit (le Roc et le Pont), les ruines de Petra Castellana, ancienne ville de Castellane au Xème siècle. Le tour du Roc et du Serre permet de découvrir ce patrimoine culturel et bâti. Un parcours de silhouettes installées dans la cité donne à voir et à comprendre les grands moments historiques.

Appartenant à la fois au territoire du Parc Naturel Régional du Verdon et de la Réserve Géologique de Haute Provence, Castellane se situe au cœur d’espaces naturels protégés. Elle est entourée de sommets culminants entre 1500 et 1700 mètres d’altitude dont Robion, Destourbes et les Cadières de Brandis. Le sentier de grande randonnée, GR4, traverse la commune. Quatre itinéraires VTT de niveaux différents peuvent également être empruntés au départ de Castellane. La Vallée des Sirènes Fossiles au sommet du Col des Lèques incite à la découverte d’un patrimoine géologique fabuleux. Avec deux musées - Musée Sirènes et Fossiles sur la géologie et Musée du Moyen Verdon, Arts et Traditions Populaires - et le Relais du Parc du Verdon, la Maison Nature et Patrimoines de Castellane propose des expositions, des animations et toutes les informations sur le territoire et les randonnées.

Beauvezer

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Beauvezer signifie beau à voir. L'architecture homogène de la commune confirmait le titre de « Perle du Verdon ». A partir du Moyen Age Beauvezer est un centre important de filature de la laine. Un « Sentier du Patrimoine » de 4,5 km, qui serpente sur la commune explique en 16 tableaux toute l'histoire de cette industrie drapière. Il reste de cette époque des bâtiments témoins de cette période florissante de l’économie de la Vallée. Certains furent transformés en colonies de vacances. L'altitude de 1 170,75m en fit un lieu qui permit pendant de nombreuses années d'accueillir des enfants atteints d'asthme. Il est à signaler que Beauvezer est un des premiers sites à avoir intégré le tourisme dans son économie grâce à sa reconnaissance et à son classement en tant que station climatique par l’académie de médecine en 1925. Elle fut la première de la Vallée à avoir une piscine, construite en 1970. De nombreuses randonnées sont à faire tout autour du village dont le point d'orgue sont les Gorges de Saint Pierre dans le hameau de Villars Heyssier. Beauvezer est un village touristique dont la population est en constante augmentation. Le village accueille l'Epicerie Belvézienne, le Grill Belvézien et le restaurant « le Lacustre », qui fait partie du réseau Pays Gourmand ainsi que 2 hôtels. Vous trouverez également dans un des anciens bâtiment de filature, La Maison de Produits de Pays. Cette dernière propose les produits de très nombreux producteurs locaux,et est ouverte tous les jours de juin à octobre et durant durant les vacances scolaires, et les vendredis, samedis et dimanches le reste de l'année.